Hé oui, on risque d’y rester à ce niveau zéro…

Mais maintenant je peux montrer à quoi ça ressemble.

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Après avoir posé les hourdis, étançonné, placé le « coffrage », coulé la dalle, étalé le béton au râteau et à la latte, rabattu le film plastique qui assure l’étanchéité autour des hourdis, il ne reste plus qu’a attendre la prise. Trois semaines, donc pas avant le 15 septembre.

On attend.

Le coffrage dont je parle, c’est cette ligne de blocs entourant les hourdis, parfois plus épaisse, là où j’avais de la place, parfois plus mince quand j’en manquais, mais de toutes façon totalement jointive pour retenir le béton qui coule à peu près liquide .Les spécialiste vous diront « pâteux », parce que s’il est liquide, c’est un mauvais béton.

N’empêche qu’il y a intérêt à boucher tous les trous, même les petits interstices, sinon le béton ne reste pas dessus, il descend au dessous des hourdis.

Avant de pouvoir construire le niveau supérieur, il faudra encore, pour faciliter le travail, remblayer autour des murs enterrés. Pour cela, il faut placer l’isolation de ces murs, et avant ça, il faut passer une couche imperméable sur les blocs.

Je n’ai pas encore déterminé si cette couche doit empêcher l’eau de rentrer dans les murs (donc, l’eau qui viendrait de l’isolant qui les entoure), ou au contraire retenir l’eau de condensation qui viendrait à travers les blocs de l’intérieur vers l’isolant placé à l’extérieur (une sorte de pare vapeur, donc).

En tout cas, j’ai « peint » ma maison blanche qui est devenu noire, ou de moins à moitié noire.

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Et par acquis de conscience, j’ai pris la précaution de rejointoyer les interstices entre les blocs, là où l’écart laissait des trous dans la « peinture », pour que le film de produit imperméable soit continu. J’attends la prochaine visite de chantier pour valider l’opération.

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Et je prends une semaine de vacances !