Sur le front des travaux, ce sera une accalmie …

A l’extérieur, parce qu’il y a encore assez de travail à l’intérieur.

Hier j’ai reçu la visite de Ronnie et Annemie, qui sont venu voir comment je me suis débrouillé avec mon réseau de VMC. Ils m’ont donné les dernières consignes pour les montages que je ne parvenais pas à résoudre (placement des bouches sur les arrivées de tubes, placement des silencieux, placement des raccords souples (qui doivent encore être livrés, et mise en route de l’Unité centrale.

Nous avons discuté du fonctionnement du puits canadien, puisque je n’ai pas encore posé le bypass. Je ferai fonctionner l’installation avec le PC en continu jusqu’au moment où. Et c’est là que se joue le véritable calcul.

Aucune moyenne inférieure de température journalière (de nuit) n’est supérieure à 12 °. Les moyennes supérieures de température journalière (de jour) ne sont supérieures à 14 ° que d’avril à septembre. Les moyennes de température supérieure ne sont jamais enregistrées au-delà de 23 °. Donc la fermeture du PC (et donc le blocage du bypass en position air atmosphérique) ne se justifie que pendant les mois de printemps et d’été pendant la journée. C’est justement dans ces périodes qu’on a tendance à couper la VMC  pour profiter de l’ambiance et de l’atmosphère de la forêt.

La conclusion rapide est : pas de bypass sur mon installation, il ne sera de toute façon jamais amorti. Maintenant, je vais tenter le test pendant 12 mois pour me rendre compte si mon raisonnement tient la route.

D’ailleurs, même s’il est impayable, je crois que je l’utiliserais s’il m’apporte du confort supplémentaire. Mais j’en doute de plus en plus.

En attendant de me remettre à la VMC, j’ai passé la journée à placer un WC intégré dans la toilette du rez de chaussée. Derrière la porte (qui n’est pas terminée, pas de serrure ni de cadre au chambranle ) l’espace  est assez vaste pour que la pièce reçoive non seulement cette affectation mais surement aussi celle de rangement pour des tas de trucs qui n’ont pas trouvé leur place dans l’armoire balais de la cuisine, comme les rallonges de la table de la salle a manger, les réserves de produits d’entretien et de Papier hygiénique ou la collection de BD, mais ça, ce n’Est pas absolument original.

 

Par ailleurs, si je me suis assez bien tu en toutes les langues ces dernières semaines, c’est que j’ai reçu un avis

M’informant que mon blog  au lieu de répandre la bonne parole,  se sentait investi d’un pouvoir malin.

Avec Antoine nous lui avons tordu le cou et je souhaite que cela ne vous a pas découragé de vous tenir au courant de l’évolution de ma construction.

D’autant qu’une ritournelle ancienne va enfin prendre fin : quand nous aurons la terrasse ?…

Parce que nous l’avons la terrasse, presque terminée. En construisant les bases de la coursive, j’ai jeté en même temps celle de la terrasse qui permet de sortit au rez de jardin sans passer par une marche de 50 cm de haut.

Le résultat est saisissant. Ce bois a passé deux ans à l’air, il est tout a fait acclimaté au Revleumont, il se place quasi sans problème. Les solives qui supportent la terrasse sont placées à 50/60 cm, et chainées tous les 80 cm au maximum.

Résultat, un ensemble souple et stable, exactement ce qui donne le confort d’une terrasse. il faudra encore terminer les cotés et adapter quelques marches par devant pour y accéder sans sauter 50 cm à chaque fois.