24 juin, le jour le plus long, la nuit la plus courte de l’année.

Rien ne se passe sur le chantier, puisque sans verre cellulaire pour placer la rupture thermique au bas des murs, rien ne peut démarrer.

Sauf que malgré tout, les blocs de béton cellulaire commencent à être livrés. Un premier camion est venu décharger 12 palettes sur la dalle ce lundi 22. Mais ils sont entassés du mauvais coté et même trop près du bord pour permettre commencer la construction. Comme le second camion arrive lundi prochain 29 à la première heure, il me faut de quoi les déplacer.

Pas difficile, il suffit d’avoir un transpalette, c’est enfantin.

Oui, bien sur, tout le monde a un transpalette au fond de sa cave, pour le cas où.

Je me mets donc en recherche pour louer l’appareil. Pas sur place, parce qu’il n’y a pas de loueur ouvert le dimanche, donc transport obligatoire, prise en charge le samedi matin, et retour lundi soir. Mais ça fait trois jours, mon bon monsieur, ça coûte plus cher.

Chercher un autre loueur, pas trop loin de chez moi quand même.

J’ai fini par trouver, je réserve, et dans les 5 minutes, e-mail d’André : j’ai un transpalette ici chez moi, il est à ta disposition, et aussi un lift pour monter à 6 mètres, et pour l’échafaudage, on va en discuter.

Je décommande donc, et je suis bien reçu malgré tout. Chapeau au loueur (Boels Overijse)

Super ! Tous mes problèmes se résolvent d’un coup. Ha, la famille !